Via CINARS
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Ce problème vient généralement du fait que le propriétaire ne l’a partagé qu’avec un petit groupe de personnes, a modifié qui pouvait le voir ou l’a supprimé.Formation: Financer son court-métrage de fiction
Avec Maria Gracia Turgeon (Brotherhood, Fauve, PRE-DRINK)
Main Film
Date limite de candidature : Jeudi 31 octobre 2024 à 23h59
Coût pour les participant·e·s : 350 $
Temps total de formation : 33h (31 heures de cours + 2h de mentorat individuel)
En présentiel dans les locaux de Main Film
Obtenez du financement pour votre film avec Maria Gracia Turgeon !
mainfilm.qc.ca
Formation professionnelle centrée sur le financement des courts-métrage de fiction auprès des institutions québécoises et canadiennesCe contenu n’est pas disponible pour le moment
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Ce problème vient généralement du fait que le propriétaire ne l’a partagé qu’avec un petit groupe de personnes, a modifié qui pouvait le voir ou l’a supprimé.→ ℕ𝕠𝕦𝕧𝕖𝕝𝕝𝕖 𝕗𝕠𝕣𝕞𝕒𝕥𝕚𝕠𝕟 ←
𝐋𝐄𝐒 𝐀𝐑𝐂𝐇𝐈𝐕𝐄𝐒 𝐄𝐓 𝐋𝐀 𝐋𝐈𝐁É𝐑𝐀𝐓𝐈𝐎𝐍 𝐃𝐄 𝐃𝐑𝐎𝐈𝐓𝐒 𝐃𝐀𝐍𝐒 𝐋𝐄 𝐂𝐎𝐍𝐓𝐄𝐗𝐓𝐄 𝐃𝐄𝐒 𝐀𝐑𝐓𝐒 𝐌É𝐃𝐈𝐀𝐓𝐈𝐐𝐔𝐄𝐒
Formatrice → Nancy Marcotte
Coût → 35 $
✶Le 5 et 12 novembre 2024 au GIV
✶13:30 h → 16:30 h
Dans ce monde des nouvelles technologies digitales où le remix règne en roi et maître, le droit d'auteur peut être complexe à déceler et pourtant il est capital de le respecter. Il existe toutefois des exceptions qui peuvent s'appliquer au contexte de production d'une vidéo d'art ou expérimentale. Une foule de sites d'images d'archives sont toutefois libres de droits et certains auteurs renoncent au droit d'auteur qui s'applique comme ceux arborant le sigle Creative Commons.
Les ateliers seront divisés en deux rencontres théoriques de groupe de 3 heures et une rencontre / consultation de 1 heure, par zoom, par participante.
✶Formation donnée en français
✶Les places sont limitées
Atelier offert par le GIV en collaboration avec Compétence Culture , REPAIRE - arts indépendants de recherche et d’expérimentation et la participation financière de Services Québec.
✶Pour vous inscrire, cliquez sur le lien : forms.gle/uA8jhG29JNApTGNR8 !✶
Classified adds
Offres d’emploi
#offredemploi
Centre Turbine𝗖𝗼𝗼𝗿𝗱𝗼𝗻𝗻𝗮𝘁𝗲𝘂𝗿·𝘁𝗿𝗶𝗰𝗲 𝗮𝘂𝘅 𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗲𝘁 𝗮𝘁𝗲𝗹𝗶𝗲𝗿𝘀 + 𝘀𝗼𝘂𝘁𝗶𝗲𝗻 𝗮𝘂𝘅 𝗰𝗼𝗺𝗺𝘂𝗻𝗶𝗰𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 | 𝗢𝗙𝗙𝗥𝗘 𝗗’𝗘𝗠𝗣𝗟𝗢𝗜
⚡ Joignez-vous à l’équipe du centre Turbine ! ⚡
Notre organisme est à la recherche d’un·e 𝐜𝐨𝐨𝐫𝐝𝐨𝐧𝐧𝐚𝐭𝐞𝐮𝐫·𝐭𝐫𝐢𝐜𝐞 𝐚𝐮𝐱 𝐟𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐞𝐭 𝐚𝐮𝐱 𝐚𝐭𝐞𝐥𝐢𝐞𝐫𝐬 qui aura pour principale responsabilité de gérer les formations, ateliers et réseaux sociaux de l’organisme, en collaboration avec l’équipe de Turbine.
📅 Date limite pour postuler : mardi 22 octobre 2024 à midi
⚠️ Cette offre d’emploi s’adresse uniquement aux personnes éligibles au programme de subvention salariale d’Emploi-Québec. 𝗨𝗻𝗲 𝗹𝗲𝘁𝘁𝗿𝗲 𝗱’𝗲́𝗹𝗶𝗴𝗶𝗯𝗶𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝗲𝘀𝘁 𝗿𝗲𝗾𝘂𝗶𝘀𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗼𝗯𝘁𝗲𝗻𝗶𝗿 𝘂𝗻𝗲 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲𝘃𝘂𝗲.
Pour tous les détails sur l’offre d’emploi ➡️ centreturbine.org/nouvelle/offre-demploi-coordonateurtrice-aux-formations-et-ateliers-soutien-aux...
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Appel à projets
Via Esse arts + opinions𝗔𝗽𝗽𝗲𝗹 𝗱𝗲 𝘁𝗲𝘅𝘁𝗲𝘀 | 𝗘𝘀𝘀𝗲 𝟭𝟭𝟱 – 𝗗é𝗰𝗼𝗺𝗽𝗼𝘀𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻
Date de tombée : 1er avril 2025
*Les personnes qui aimeraient d’abord soumettre un résumé d’intention (250-500 mots) sont invitées à le faire avant le 10 janvier 2025*
Les corps vieillissent, les aliments se gâtent. Avec le temps, tout finit par se dégrader. Il n’y a pas que les systèmes physiques qui se désorganisent ou se dégradent : les systèmes culturels, économiques et politiques aussi. Pour le numéro 115, Esse sollicite des textes sur la décomposition et la dégradation dans l’art contemporain. Nous invitons auteurs et autrices à se pencher sur la décomposition en tant que frontière poreuse entre la vie et la mort. La décomposition est-elle un phénomène esthétique auquel on devrait aspirer ? Comment les artistes composent-ils et elles avec la dégradation ? Comment les écologies queers et féministes de la mort recadrent-elles la décomposition et les déchets ? Nous recherchons des réflexions sur le potentiel critique et créatif associé à la décomposition.
⤷ Lire l'appel complet ici : www.esse.ca/dossiers-thematiques/
*
𝗖𝗮𝗹𝗹 𝗳𝗼𝗿 𝗣𝗮𝗽𝗲𝗿𝘀 | 𝗘𝘀𝘀𝗲 𝟭𝟭𝟱 – 𝗗𝗲𝗰𝗮𝘆
Deadline: April 1, 2025
*Applicants who wish to first submit a statement of intent (250-500 words) are invited to do so before January 10, 2025*
Bodies age, food spoils. Over time, everything falls apart. It’s not just physical structures that decay, but cultural, economic, and political systems also. For issue 115, Esse solicits texts about decomposition and decay in contemporary art and theory. We invite papers that consider decomposition as a porous boundary between life and death. Can decomposition be an aspirational aesthetic phenomenon? How have artists engaged and resisted decay? How are queer feminist ecologies of death rethinking decomposition and waste? We are seeking reflections on the critical and creative potentials that emerge from decay.
⤷ Read the full call here: www.esse.ca/en/themes/
@followers
#conseildesartsducanada
#LettreOuverte
17 octobre 2024
Une lettre ouverte à la communauté artistique de la directrice et chef de la direction du Conseil des arts du Canada
Il est temps de changer ce qui se raconte sur les arts
À la communauté artistique,
Il y a une histoire qui circule beaucoup au sujet du secteur artistique canadien.
Je l’ai entendue souvent au cours de ma première année comme directrice et chef de la direction du Conseil des arts du Canada. Les artistes, les leaders du milieu et les responsables des orientations politiques dans des communautés partout au pays me l’ont racontée et je l’ai aussi entendue aux nouvelles. J’ai moi-même raconté cette histoire, et peut-être que vous avez fait de même.
Mais le moment est venu de changer cette histoire, avant qu’il ne soit trop tard.
Une histoire de crise
L’histoire dont il est question est la suivante : le secteur des arts vit une crise. Des organismes artistiques partout au pays sont sur le point de fermer. Certains ont déjà glissé la clé sous la porte. Pendant ce temps, des artistes et des travailleuses et travailleurs quittent le secteur au profit de domaines plus viables. La conclusion : nous devons faire quelque chose avant de tout perdre.
Je voudrais bien pouvoir dire que cette histoire doit changer parce qu’elle n’est pas vraie. Malheureusement, elle l’est en grande partie. Les résultats préliminaires d’un sondage que le Conseil a mené auprès du secteur cet été l’ont confirmé, en plus de mettre en lumière des défis importants.
Alors, si le secteur des arts vit véritablement une crise, qu’y a-t-il de mal à raconter cette histoire? À mon avis, il y a deux pièces manquantes fondamentales à cette dernière.
Ce qui manque à cette histoire
Pour commencer, beaucoup de gens ne se rendent pas compte des vraies conséquences de la crise. Les arts font face à d’énormes défis. Des organismes fermeront leurs portes. Des artistes et des travailleuses et travailleurs quitteront le secteur. L’écosystème artistique s’écroulera. Mais qu’est-ce que ça fait?
Si la réponse est évidente pour nous qui faisons partie du secteur, nous ne pouvons pas supposer que c’est le cas de tout le monde, surtout pas les décisionnaires.
Qu’est-ce que ça fait? Eh bien, les arts sont importants pour les Canadiennes et les Canadiens. Ils ont des retombées culturelles, sociales et économiques considérables. La population canadienne a autant à perdre que nous.
Le deuxième élément qui manque à cette histoire est le caractère essentiel d’un financement public robuste et soutenu. Ce financement est nécessaire pour aider les arts à traverser cette période difficile. Il est également nécessaire pour aider le secteur à continuer de se transformer et à assurer sa survie afin qu’il puisse continuer pendant encore longtemps à apporter des contributions vitales à la société.
Raconter l’histoire des retombées
Quand je rencontre des décisionnaires dans différentes régions du pays, je commence toujours par leur parler des retombées plutôt que de la crise.
Je leur parle des retombées économiques importantes des arts. Les arts et la culture contribuent à hauteur de 60 milliards de dollars au PIB du Canada et emploient plus de 850 000 personnes dans des emplois liés à la culture. Les arts attirent des entreprises, qui investissent dans les communautés. Ils attirent des touristes des quatre coins du monde. En effet, le tourisme artistique et culturel a des retombées économiques trois fois plus importantes que les autres types de tourisme.
Je leur parle également du sentiment d’appartenance suscité par les arts, qui créent des expériences de joie partagée et nous réunissent pour discuter de sujets difficiles qui, autrement, pourraient nous diviser.
Lorsque je parle des retombées, je tire souvent des exemples de votre travail, que le Conseil a soutenu dans plus de 2 000 communautés d’un bout à l’autre du pays, dans toutes les disciplines artistiques et à toutes les étapes du processus créatif. Des artistes et des organismes artistiques dans toutes les régions du pays incarnent le génie et l’innovation. Je suis profondément inspirée par votre talent, votre passion et votre créativité.
Quand je parle aux décisionnaires, j’insiste sur le fait que ces retombées dépendent d’investissements publics. Ce soutien est important à tous les échelons : fédéral, provincial, territorial et municipal. La combinaison d’investissements publics et privés ainsi que de revenus gagnés est ce qui permet à l’écosystème artistique de prospérer.
Nous devons répandre cette histoire ensemble.
Un appel urgent
Tout le secteur artistique doit commencer à partager l’histoire des retombées des arts avec les décisionnaires, et nous devons le faire sans tarder.
Je fais appel à vous — leaders du domaine, artistes et travailleuses et travailleurs du secteur — pour que vous rencontriez les décisionnaires dans vos communautés ou que vous leur écriviez dès que vous avez terminé de lire ceci.
Racontez-leur l’histoire unique de vos retombées. Vous pouvez leur parler d’un projet qui a aidé votre communauté à explorer un enjeu local. Vous pouvez leur dire combien de gens sont attirés dans votre communauté grâce à votre travail et visitent en même temps d’autres entreprises locales. Chacune et chacun de nous aura une histoire différente à raconter, mais ensemble, nous pouvons créer un narratif convaincant.
Faites-leur savoir que le soutien public des arts a été essentiel à votre réussite et qu’il est nécessaire pour que les arts puissent continuer de contribuer aux vies des Canadiennes et des Canadiens.
Racontez cette histoire à vos publics, à vos bénévoles et à vos donatrices et donateurs. Encouragez-les à dire aux décisionnaires à quel point les arts comptent dans leur vie.
Il serait facile d’ignorer cet appel, mais il sera impossible d’ignorer ce qui se passera si nous ne faisons rien.
Ensemble, changeons ce qui se dit sur les arts en ouvrant la conversation sur nos retombées économiques, sociales et culturelles aux quatre coins du pays et dans les communautés, des plus petites aux plus grandes. Crions cette histoire sur tous les toits pour qu’elle soit entendue par tout le monde, des publics aux décisionnaires.
Michelle Chawla
Directrice et chef de la direction
#appelacandidature
MANIF D'ART - La biennale de Québec
manifdart.org/commissaire-thematique-et-appel-de-candidatures-manif-dart-12-la-biennale-de-quebec...𝙈𝙖𝙣𝙞𝙛 12 - 𝙇𝙖 𝙗𝙞𝙚𝙣𝙣𝙖𝙡𝙚 𝙙𝙚 𝙌𝙪𝙚́𝙗𝙚𝙘
𝗗𝘂 𝟮𝟴 𝗳𝗲́𝘃𝗿𝗶𝗲𝗿 𝗮𝘂 𝟭𝟵 𝗮𝘃𝗿𝗶𝗹 𝟮𝟬𝟮𝟲
Manif d’art a l’immense plaisir d’annoncer le commissaire de la 12e édition de la biennale de Québec : Didier Morelli ! Sous le thème « 𝗕𝗿𝗶𝘀𝗲𝗿 𝗹𝗮 𝗴𝗹𝗮𝗰𝗲/𝙎𝙥𝙡𝙞𝙩𝙩𝙞𝙣𝙜 𝙞𝙘𝙚 », l’événement s’intéressera aux diverses pratiques enracinées dans la terre, et plus particulièrement dans l’eau et ses multiples formes à travers le monde, les saisons et les climats.
Les artistes ou collectifs de la province de Québec sont invités à faire acte de candidature pour cette prochaine édition.
Pour en savoir plus : manifdart.org/commissaire-thematique-et-appel-de-candidatures-manif-dart-12-la-biennale-de-quebec/
© Photo: Clara Lacasse
#appeldossier via Articule𝐀𝐩𝐩𝐞𝐥 𝐝𝐞 𝐝𝐨𝐬𝐬𝐢𝐞𝐫𝐬 — 𝐂𝐞 𝐪𝐮𝐢 𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐭𝐫𝐚𝐯𝐞𝐫𝐬𝐞 : 𝐀𝐭𝐞𝐥𝐢𝐞𝐫𝐬 𝐝’𝐡𝐢𝐬𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐟𝐚𝐦𝐢𝐥𝐢𝐚𝐥𝐞
↳ Date limite: Samedi le 19 octobre 2024, 23h59 EST
Super Boat People @superboatpeople , en collaboration avec articule, le Centre d’histoire et de récits numérisés de l’Université Concordia Centre for Oral History and Digital Storytelling Concordia University et le MEM - Centre des mémoires montréalaises, organise une série de 8 ateliers permettant à une cohorte d’une dizaine de participant·e·s d’origine cambodgienne, vietnamienne et laotienne de se réapproprier leur passé familial par le biais de l’histoire orale et de l'art.
Appels de dossiers 🔗 www.articule.org/fr/evenements/superboatpeople-ce-qui-nous-traverse-2024
—
𝐂𝐚𝐥𝐥 𝐟𝐨𝐫 𝐩𝐫𝐨𝐩𝐨𝐬𝐚𝐥𝐬 — 𝐖𝐡𝐚𝐭 𝐓𝐫𝐚𝐯𝐞𝐥𝐬 𝐓𝐡𝐫𝐨𝐮𝐠𝐡 𝐔𝐬: 𝐅𝐚𝐦𝐢𝐥𝐲 𝐇𝐢𝐬𝐭𝐨𝐫𝐲 𝐖𝐨𝐫𝐤𝐬𝐡𝐨𝐩𝐬
↳ Deadline: October 19, 2024, 11:59 pm EST
In collaboration with articule, the MEM - Centre des mémoires montréalaises, and Concordia University's Centre for Oral History and Digital Storytelling , Super Boat People is organizing a series of eight workshops enabling a cohort of ten participants of Cambodian, Vietnamese and Laotian origin to reappropriate their family past through oral history and art.
Call for Participants 🔗 www.articule.org/en/events/superboatpeople-what-travels-through-us-2024
Réseau Art Actuel - RCAAQ ELAN Quebec
Plaza St-Hubert @followers
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Petites annonces
#offredemploi
Centre Turbine𝗖𝗼𝗼𝗿𝗱𝗼𝗻𝗻𝗮𝘁𝗲𝘂𝗿·𝘁𝗿𝗶𝗰𝗲 𝗮𝘂𝘅 𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗲𝘁 𝗮𝘁𝗲𝗹𝗶𝗲𝗿𝘀 + 𝘀𝗼𝘂𝘁𝗶𝗲𝗻 𝗮𝘂𝘅 𝗰𝗼𝗺𝗺𝘂𝗻𝗶𝗰𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 | 𝗢𝗙𝗙𝗥𝗘 𝗗’𝗘𝗠𝗣𝗟𝗢𝗜
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Notre organisme est à la recherche d’un·e 𝐜𝐨𝐨𝐫𝐝𝐨𝐧𝐧𝐚𝐭𝐞𝐮𝐫·𝐭𝐫𝐢𝐜𝐞 𝐚𝐮𝐱 𝐟𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐞𝐭 𝐚𝐮𝐱 𝐚𝐭𝐞𝐥𝐢𝐞𝐫𝐬 qui aura pour principale responsabilité de gérer les formations, ateliers et réseaux sociaux de l’organisme, en collaboration avec l’équipe de Turbine.
📅 Date limite pour postuler : mardi 22 octobre 2024 à midi
⚠️ Cette offre d’emploi s’adresse uniquement aux personnes éligibles au programme de subvention salariale d’Emploi-Québec. 𝗨𝗻𝗲 𝗹𝗲𝘁𝘁𝗿𝗲 𝗱’𝗲́𝗹𝗶𝗴𝗶𝗯𝗶𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝗲𝘀𝘁 𝗿𝗲𝗾𝘂𝗶𝘀𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗼𝗯𝘁𝗲𝗻𝗶𝗿 𝘂𝗻𝗲 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲𝘃𝘂𝗲.
Pour tous les détails sur l’offre d’emploi ➡️ centreturbine.org/nouvelle/offre-demploi-coordonateurtrice-aux-formations-et-ateliers-soutien-aux...
Via Esse arts + opinions𝗔𝗽𝗽𝗲𝗹 𝗱𝗲 𝘁𝗲𝘅𝘁𝗲𝘀 | 𝗘𝘀𝘀𝗲 𝟭𝟭𝟱 – 𝗗é𝗰𝗼𝗺𝗽𝗼𝘀𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻
Date de tombée : 1er avril 2025
*Les personnes qui aimeraient d’abord soumettre un résumé d’intention (250-500 mots) sont invitées à le faire avant le 10 janvier 2025*
Les corps vieillissent, les aliments se gâtent. Avec le temps, tout finit par se dégrader. Il n’y a pas que les systèmes physiques qui se désorganisent ou se dégradent : les systèmes culturels, économiques et politiques aussi. Pour le numéro 115, Esse sollicite des textes sur la décomposition et la dégradation dans l’art contemporain. Nous invitons auteurs et autrices à se pencher sur la décomposition en tant que frontière poreuse entre la vie et la mort. La décomposition est-elle un phénomène esthétique auquel on devrait aspirer ? Comment les artistes composent-ils et elles avec la dégradation ? Comment les écologies queers et féministes de la mort recadrent-elles la décomposition et les déchets ? Nous recherchons des réflexions sur le potentiel critique et créatif associé à la décomposition.
⤷ Lire l'appel complet ici : www.esse.ca/dossiers-thematiques/
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𝗖𝗮𝗹𝗹 𝗳𝗼𝗿 𝗣𝗮𝗽𝗲𝗿𝘀 | 𝗘𝘀𝘀𝗲 𝟭𝟭𝟱 – 𝗗𝗲𝗰𝗮𝘆
Deadline: April 1, 2025
*Applicants who wish to first submit a statement of intent (250-500 words) are invited to do so before January 10, 2025*
Bodies age, food spoils. Over time, everything falls apart. It’s not just physical structures that decay, but cultural, economic, and political systems also. For issue 115, Esse solicits texts about decomposition and decay in contemporary art and theory. We invite papers that consider decomposition as a porous boundary between life and death. Can decomposition be an aspirational aesthetic phenomenon? How have artists engaged and resisted decay? How are queer feminist ecologies of death rethinking decomposition and waste? We are seeking reflections on the critical and creative potentials that emerge from decay.
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#LettreOuverte
17 octobre 2024
Une lettre ouverte à la communauté artistique de la directrice et chef de la direction du Conseil des arts du Canada
Il est temps de changer ce qui se raconte sur les arts
À la communauté artistique,
Il y a une histoire qui circule beaucoup au sujet du secteur artistique canadien.
Je l’ai entendue souvent au cours de ma première année comme directrice et chef de la direction du Conseil des arts du Canada. Les artistes, les leaders du milieu et les responsables des orientations politiques dans des communautés partout au pays me l’ont racontée et je l’ai aussi entendue aux nouvelles. J’ai moi-même raconté cette histoire, et peut-être que vous avez fait de même.
Mais le moment est venu de changer cette histoire, avant qu’il ne soit trop tard.
Une histoire de crise
L’histoire dont il est question est la suivante : le secteur des arts vit une crise. Des organismes artistiques partout au pays sont sur le point de fermer. Certains ont déjà glissé la clé sous la porte. Pendant ce temps, des artistes et des travailleuses et travailleurs quittent le secteur au profit de domaines plus viables. La conclusion : nous devons faire quelque chose avant de tout perdre.
Je voudrais bien pouvoir dire que cette histoire doit changer parce qu’elle n’est pas vraie. Malheureusement, elle l’est en grande partie. Les résultats préliminaires d’un sondage que le Conseil a mené auprès du secteur cet été l’ont confirmé, en plus de mettre en lumière des défis importants.
Alors, si le secteur des arts vit véritablement une crise, qu’y a-t-il de mal à raconter cette histoire? À mon avis, il y a deux pièces manquantes fondamentales à cette dernière.
Ce qui manque à cette histoire
Pour commencer, beaucoup de gens ne se rendent pas compte des vraies conséquences de la crise. Les arts font face à d’énormes défis. Des organismes fermeront leurs portes. Des artistes et des travailleuses et travailleurs quitteront le secteur. L’écosystème artistique s’écroulera. Mais qu’est-ce que ça fait?
Si la réponse est évidente pour nous qui faisons partie du secteur, nous ne pouvons pas supposer que c’est le cas de tout le monde, surtout pas les décisionnaires.
Qu’est-ce que ça fait? Eh bien, les arts sont importants pour les Canadiennes et les Canadiens. Ils ont des retombées culturelles, sociales et économiques considérables. La population canadienne a autant à perdre que nous.
Le deuxième élément qui manque à cette histoire est le caractère essentiel d’un financement public robuste et soutenu. Ce financement est nécessaire pour aider les arts à traverser cette période difficile. Il est également nécessaire pour aider le secteur à continuer de se transformer et à assurer sa survie afin qu’il puisse continuer pendant encore longtemps à apporter des contributions vitales à la société.
Raconter l’histoire des retombées
Quand je rencontre des décisionnaires dans différentes régions du pays, je commence toujours par leur parler des retombées plutôt que de la crise.
Je leur parle des retombées économiques importantes des arts. Les arts et la culture contribuent à hauteur de 60 milliards de dollars au PIB du Canada et emploient plus de 850 000 personnes dans des emplois liés à la culture. Les arts attirent des entreprises, qui investissent dans les communautés. Ils attirent des touristes des quatre coins du monde. En effet, le tourisme artistique et culturel a des retombées économiques trois fois plus importantes que les autres types de tourisme.
Je leur parle également du sentiment d’appartenance suscité par les arts, qui créent des expériences de joie partagée et nous réunissent pour discuter de sujets difficiles qui, autrement, pourraient nous diviser.
Lorsque je parle des retombées, je tire souvent des exemples de votre travail, que le Conseil a soutenu dans plus de 2 000 communautés d’un bout à l’autre du pays, dans toutes les disciplines artistiques et à toutes les étapes du processus créatif. Des artistes et des organismes artistiques dans toutes les régions du pays incarnent le génie et l’innovation. Je suis profondément inspirée par votre talent, votre passion et votre créativité.
Quand je parle aux décisionnaires, j’insiste sur le fait que ces retombées dépendent d’investissements publics. Ce soutien est important à tous les échelons : fédéral, provincial, territorial et municipal. La combinaison d’investissements publics et privés ainsi que de revenus gagnés est ce qui permet à l’écosystème artistique de prospérer.
Nous devons répandre cette histoire ensemble.
Un appel urgent
Tout le secteur artistique doit commencer à partager l’histoire des retombées des arts avec les décisionnaires, et nous devons le faire sans tarder.
Je fais appel à vous — leaders du domaine, artistes et travailleuses et travailleurs du secteur — pour que vous rencontriez les décisionnaires dans vos communautés ou que vous leur écriviez dès que vous avez terminé de lire ceci.
Racontez-leur l’histoire unique de vos retombées. Vous pouvez leur parler d’un projet qui a aidé votre communauté à explorer un enjeu local. Vous pouvez leur dire combien de gens sont attirés dans votre communauté grâce à votre travail et visitent en même temps d’autres entreprises locales. Chacune et chacun de nous aura une histoire différente à raconter, mais ensemble, nous pouvons créer un narratif convaincant.
Faites-leur savoir que le soutien public des arts a été essentiel à votre réussite et qu’il est nécessaire pour que les arts puissent continuer de contribuer aux vies des Canadiennes et des Canadiens.
Racontez cette histoire à vos publics, à vos bénévoles et à vos donatrices et donateurs. Encouragez-les à dire aux décisionnaires à quel point les arts comptent dans leur vie.
Il serait facile d’ignorer cet appel, mais il sera impossible d’ignorer ce qui se passera si nous ne faisons rien.
Ensemble, changeons ce qui se dit sur les arts en ouvrant la conversation sur nos retombées économiques, sociales et culturelles aux quatre coins du pays et dans les communautés, des plus petites aux plus grandes. Crions cette histoire sur tous les toits pour qu’elle soit entendue par tout le monde, des publics aux décisionnaires.
Michelle Chawla
Directrice et chef de la direction
#appelacandidature
MANIF D'ART - La biennale de Québec
manifdart.org/commissaire-thematique-et-appel-de-candidatures-manif-dart-12-la-biennale-de-quebec...𝙈𝙖𝙣𝙞𝙛 12 - 𝙇𝙖 𝙗𝙞𝙚𝙣𝙣𝙖𝙡𝙚 𝙙𝙚 𝙌𝙪𝙚́𝙗𝙚𝙘
𝗗𝘂 𝟮𝟴 𝗳𝗲́𝘃𝗿𝗶𝗲𝗿 𝗮𝘂 𝟭𝟵 𝗮𝘃𝗿𝗶𝗹 𝟮𝟬𝟮𝟲
Manif d’art a l’immense plaisir d’annoncer le commissaire de la 12e édition de la biennale de Québec : Didier Morelli ! Sous le thème « 𝗕𝗿𝗶𝘀𝗲𝗿 𝗹𝗮 𝗴𝗹𝗮𝗰𝗲/𝙎𝙥𝙡𝙞𝙩𝙩𝙞𝙣𝙜 𝙞𝙘𝙚 », l’événement s’intéressera aux diverses pratiques enracinées dans la terre, et plus particulièrement dans l’eau et ses multiples formes à travers le monde, les saisons et les climats.
Les artistes ou collectifs de la province de Québec sont invités à faire acte de candidature pour cette prochaine édition.
Pour en savoir plus : manifdart.org/commissaire-thematique-et-appel-de-candidatures-manif-dart-12-la-biennale-de-quebec/
© Photo: Clara Lacasse
#appeldossier via Articule𝐀𝐩𝐩𝐞𝐥 𝐝𝐞 𝐝𝐨𝐬𝐬𝐢𝐞𝐫𝐬 — 𝐂𝐞 𝐪𝐮𝐢 𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐭𝐫𝐚𝐯𝐞𝐫𝐬𝐞 : 𝐀𝐭𝐞𝐥𝐢𝐞𝐫𝐬 𝐝’𝐡𝐢𝐬𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐟𝐚𝐦𝐢𝐥𝐢𝐚𝐥𝐞
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Super Boat People @superboatpeople , en collaboration avec articule, le Centre d’histoire et de récits numérisés de l’Université Concordia Centre for Oral History and Digital Storytelling Concordia University et le MEM - Centre des mémoires montréalaises, organise une série de 8 ateliers permettant à une cohorte d’une dizaine de participant·e·s d’origine cambodgienne, vietnamienne et laotienne de se réapproprier leur passé familial par le biais de l’histoire orale et de l'art.
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𝐂𝐚𝐥𝐥 𝐟𝐨𝐫 𝐩𝐫𝐨𝐩𝐨𝐬𝐚𝐥𝐬 — 𝐖𝐡𝐚𝐭 𝐓𝐫𝐚𝐯𝐞𝐥𝐬 𝐓𝐡𝐫𝐨𝐮𝐠𝐡 𝐔𝐬: 𝐅𝐚𝐦𝐢𝐥𝐲 𝐇𝐢𝐬𝐭𝐨𝐫𝐲 𝐖𝐨𝐫𝐤𝐬𝐡𝐨𝐩𝐬
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